« J’attache beaucoup d’importance à la durabilité et à la provenance des produits. Je privilégie les matières produites de manière équitable, sans substances nocives, mais qui reflètent quand même le caractère dont j’ai besoin. »
Dès la classe de seconde, Hanna a décidé de faire un apprentissage de couturière plutôt que de passer le bac. « Je savais exactement où je voulais aller ! » Une qualité essentielle, car survivre dans l’industrie de la mode constitue un vrai défi : « Il faut énormément de discipline et de ténacité. Personne n’est là pour vous dire ce qu’il faut faire. C’est dur, mais c’est aussi ce qui me plaît.
La jeune femme de 30 ans a grandi dans l’environnement d’un des premiers magasins bio du pays, un mode de vie qui l’a marquée. Hanna a une conscience aiguë de tout ce qui l’entoure : « J’attache beaucoup d’importance à la durabilité et à la provenance des produits. Je privilégie les matières produites de manière équitable, sans substances nocives, mais qui reflètent quand même le caractère dont j’ai besoin. Le coton blanc est facile à trouver mais je fais attention aux surfaces et aux structures, j’ai besoin de choses particulières, et là, le choix est réduit. »
Hanna s’inquiète surtout de savoir comment les choses sont fabriquées et un seul coup d’œil lui suffit à juger la qualité : « Je me dirige automatiquement vers le produit le plus cher, car le savoir-faire artisanal se répercute forcément sur le prix. Aujourd'hui j’ai tendance à acheter en plus petite quantité, mais de meilleure qualité. »
Dès la classe de seconde, Hanna a décidé de faire un apprentissage de couturière plutôt que de passer le bac. « Je savais exactement où je voulais aller ! » Une qualité essentielle, car survivre dans l’industrie de la mode constitue un vrai défi : « Il faut énormément de discipline et de ténacité. Personne n’est là pour vous dire ce qu’il faut faire. C’est dur, mais c’est aussi ce qui me plaît.
La jeune femme de 30 ans a grandi dans l’environnement d’un des premiers magasins bio du pays, un mode de vie qui l’a marquée. Hanna a une conscience aiguë de tout ce qui l’entoure : « J’attache beaucoup d’importance à la durabilité et à la provenance des produits. Je privilégie les matières produites de manière équitable, sans substances nocives, mais qui reflètent quand même le caractère dont j’ai besoin. Le coton blanc est facile à trouver mais je fais attention aux surfaces et aux structures, j’ai besoin de choses particulières, et là, le choix est réduit. »
Hanna s’inquiète surtout de savoir comment les choses sont fabriquées et un seul coup d’œil lui suffit à juger la qualité : « Je me dirige automatiquement vers le produit le plus cher, car le savoir-faire artisanal se répercute forcément sur le prix. Aujourd'hui j’ai tendance à acheter en plus petite quantité, mais de meilleure qualité. »